deuxième génération d’ordinateurs ; origine, histoire et évolution

Parler d’ordinateurs, c’est faire le tour du siècle dernier. Bien que la première machine informatique électromécanique soit née en 1938, cette fois, nous voulons que vous en sachiez plus sur ce qui s’est passé les années suivantes dans ce qu’on appelle le « Ordinateurs de deuxième génération «.

Cette période de notre histoire ne s’étend que sur six ans mais cela nous montre, sans aucun doute, des avancées significatives pour le secteur, dont beaucoup sont essentielles pour le développement ultérieur de concepts et de machines informatiques.

Nous allons vous dire ce que cette époque a signifié pour l’histoire, par quels éléments elle se caractérise, comment elle s’est développée et qui étaient les principaux hommes et machines du moment. Voir tout générations d’ordinateurs au complet.

Quelles caractéristiques définissent la deuxième génération d’ordinateurs ?

Moitié aussi longtemps que la première génération elle n’occupe que six ans de notre histoire, de 1958 à 1964 .

Ce qui le caractérise comprend :

• La première et principale caractéristique est la présentation des transistors qui ont été inventés quelques années auparavant, dans l’architecture des ordinateurs, étant le substituts aux vannes de vide . Un tube à vide occupait la même chose que 200 transistors.
• Cet aspect nous amène à un autre des aspects significatifs des ordinateurs de ces années : leur taille. Ce remplacement a permis de construire machines considérablement plus petites .
• Ils produisaient également moins de chaleur, ce qui a réduit les besoins de ventilation.
• Cela a également un impact sur la consommation d’énergie, qui se trouve être moindre.
• Ces utiliser des langages plus avancés que ce qui était connu jusqu’à présent (langage machine, qui était binaire). Elles sont appelées “ haut niveau » et, en effet, on en a vu plus d’un dans les différents appareils qui sont allés sur le marché.
• Les processeurs sont conçus beaucoup plus facilement grâce à la microprogrammation un concept développé en 1959.
• La mémoires à noyau magnétique sont largement utilisés, remplaçant presque complètement les tambours rotatifs.
• L’ensemble des fonctionnalités précédentes et d’autres telles que leur fiabilité et leur puissance croissantes en font des appareils plus commerciaux, plus proches de la société.
• COBOL le premier langage de programmation de haut niveau qui, bien qu’il ait été conçu dans la génération précédente, n’est commercialisé que plusieurs années plus tard.
• La mini-ordinateurs .
• Plus de fonctionnalités sont incluses, telles que la capacité d’impression.
• Les programmes de fonctions spécifiques deviennent beaucoup plus vendables ms et, bien sûr, aussi des ordinateurs.
• L’utilisation de ces machines s’étend couvrant le stockage, la gestion des stocks, l’enregistrement, la comptabilité, la paie…

Quelle a été l’évolution et l’histoire de la 2ème génération d’ordinateurs ?

C’est de l’année 1958 étant le jalon qui le caractérise et qui commence l’introduction de transistors pour remplacer les soupapes à vide, quelque chose que nous voyons les années précédentes mais sans brevets.

Nous commençons par le développement de deux supercalculateurs LARC dont l’usage était exclusif au secteur de l’énergie atomique, l’un d’eux étant installé en Californie et un autre étant affecté à l’US Navy, qui a conçu avec elle le premier simulateur de vol.

Les ordinateurs qui se succèdent améliorer considérablement les précédents , l’un après l’autre, la plupart d’entre eux étant d’une grande importance, chacun sous un aspect. Personne ne fabrique un appareil égal à celui de la concurrence.

Fortran apparaît d’IBM, considéré comme le premier langage de programmation généraliste de haut niveau qui faisait partie de l’une des principales machines de la génération, l’IBM 1401.

Il est intéressant de savoir que c’est à ce stade, en 1962, que le premier jeu vidéo connu au monde apparaît, appelé Guerre spatiale !

Cette époque se termine avec le lancement d’IMB 360, une série d’ordinateurs de caractéristiques différentes qui ne partageaient que des logiciels étant une bombe pour être utile à un large public et devenir, selon le modèle , plus accessible.

Il est juste de dire que IBM était la société leader par une victoire, au cours de ces six années, créant toujours le GROUPE groupe, un groupe de sociétés unies pour tenter de l’ombrager (sans succès). Les dernières années de cette époque sont témoins de ce qui serait une tentative de mini-ordinateur, un appareil informatique d’une taille considérablement plus petite que celle vue jusqu’à présent.

Meilleurs inventeurs de la deuxième génération d’ordinateurs

Bien sûr, obtenir tout ce qui précède n’aurait pas été possible sans quelques cerveaux qui, sans aucun doute, sont entrés dans l’histoire dans leurs domaines respectifs et dans l’informatique en général.

Gène Amdahl

Nous commençons avec quelqu’un qui ne se démarque pas en tant qu’inventeur mais qui mérite quand même d’être reconnu dans ce poste parce qu’il était le architecte en chef de la première série de machines coulissantes du même logiciel mais avec des spécifications et des tailles différentes, qui se distinguaient précisément par leur design et leurs architectures variables mais parfaites pour chacune des machines.

Cet homme, fondateur de quatre entreprises prospères du secteur, a été décerné en 1983 pour sa contribution à la conception, à la fabrication et à l’application d’ordinateurs à haute performance. Dans 1987 il reçoit également le Eckert-Mauchly prix de l’innovation informatique. Deux ans plus tard reçoit un prix en tant qu’entrepreneur dans le secteur informatique. Tout cela signifie que, dans 1992 , Monde de l’ordinateur le magazine le considère l’une des 25 personnes qui ont changé le monde .

Outre ce qui précède, il donne son nom à une loi ( La loi d’Amdahl ) qui n’est rien de plus qu’une formule pour corroborer qu’à partir d’un certain point, il n’y avait aucun intérêt à inclure plus de processeurs dans un système parallèle.

J. Bardeen, W. Brattain et W. Shockley

Tout aussi méritoires sont ces trois hommes, le premier ingénieur physico-électricien et les physiciens suivants, a inventé le transistor , qui a été annoncé en 1948 mais il a fallu quatre ans pour voir la lumière . C’est-à-dire qu’ils sont les responsable de la deuxième génération d’ordinateurs .

Cette étape et l’excellent travail qu’ils ont accompli dans l’étude des semi-conducteurs ont fait que les trois recevoir peu de temps après, en 1956, le prix Nobel de physique .

Maurice Wilkes

A ce chercheur en informatique on doit la microprogrammation un concept qui a été achevé en 1951 mais n’a pas été utilisé de manière opérationnelle sur un ordinateur du marché, le EDSAC 2 jusqu’en 1958 .

D’autres idées qui ont été très bien mises en œuvre et qui ont encore amélioré la reconnaissance de cet homme étaient macros, étiquettes symboliques pour les bibliothèques de code ou de fonctions indispensable pour tout langage de programmation.

La Royal Society décide de faire de lui un membre du sien en 1956. À son retour en Angleterre en 1993, il reçut le titre en l’honneur de Docteur en sciences . Il apparaît dans la liste des distinctions honorifiques de l’année 2000.

Quels ordinateurs en vedette sont apparus dans la deuxième génération d’ordinateurs ? durée >

Bien sûr, nous avons certaines machines qui ont été les protagonistes à part entière de ces années :

IBM 1401

Il a été lancé en 1959, étant un base de transistor de l’ordinateur central machine qui fonctionnait avec les fameuses cartes perforées . Il avait une vocation généraliste et ses 12 000 unités vendues en ont fait un succès, considérant, en effet, le plus abouti de l’histoire de l’informatique .

Son autre aspect à souligner était la Mémoire à noyau magnétique de 4000 caractères étendu, peu de temps après, à 16000.

IBM 1620

Un mainframe de 1959, lui aussi à base de transistors, comme c’est logique, qui avait, en principe, avec une seule bande de papier perforée qui, peu de temps après, a été remplacée par des cartes perforées . Il avait une mémoire à noyau magnétique de 60000 chiffres décimaux .

Son utilisation était scientifique et, contrairement à tous les précédents conçus à cet effet, il était considéré comme le premier ordinateur économique.

PDP-1 h3>

Processeur de données programmé-1 est une machine qui, d’autre part, vient de DEC. C’était le premier qui a été utilisé au laboratoire par son personnel et non par des informaticiens spécialisés. Son but était d’aider à la recherche scientifique.

Il est lancé en 1960 et, en plus de ça, c’est un point dans l’histoire de l’informatique car c’est le utilisé pour exécuter ce qui était le premier jeu vidéo en plus de devenir un élément de base de la culture hacker du Massachusetts Institute of Technology.

Il a utilisé du ruban adhésif perforé pour stocker des informations inspirant certains logiciels d’édition de texte.

Série 360

C’était toute une famille d’ordinateurs qui a exécuté le même logiciel mais a monté des spécifications différentes pour la vitesse (de 0,034 MiPS à 1,7) et capacité (de 8 Ko à 8 Mo) et, par conséquent, d’un prix différent.

Ils apparaissent en 1964, étant toute une révolution car ils pourraient toucher un nombre “énorme” d’utilisateurs, leur donnant, en plus, des usages différents, à la fois commerciaux et scientifiques.

Son design est également important étant l’inspiration des dispositifs futurs et étant considéré, par conséquent, aussi comme le point de départ de ce que serait la prochaine génération d’informatique .

IBM Strench

C’est le premier supercalculateur construit avec ce système de transistor qui caractérise la deuxième génération d’ordinateurs.

Il apparaît en 1961 et, bien qu’il n’ait pas répondu aux attentes, il a été le plus rapide pendant trois ans. Loin d’avoir le succès escompté, il a montré un écart entre le rendement attendu et le rendement réel que son prix a été divisé en deux pour pouvoir le vendre.

Toutefois, est considérée comme l’une des machines les plus importantes lors de la génération de plusieurs technologies qui ont eu beaucoup de succès, étant utilisés depuis de nombreuses années, comme la logique du système de transistor modulaire, les interruptions généralisées, la protection de la mémoire, les instructions de multiprogrammation ou de canalisation .